Les Soviets partout ? Oui, battus ! Les vieillards rouges

Au Pilori, 3 juillet 1941, signé Paul Riche

Offensive maçonnique

En zone libre, les mêmes vieillards maçonnisants et sovietsisants en, voyous séniles qui ont conduit la France à l’abîme, continuent à opérer en toute tranquillité, d’accord avec leurs complices mondiaux.

Les petits Maçons procèdent par groupes occultes, sans liaison apparente entre eux. On se réunit pour des belotes et des bridges. On propage des slogans. On attaque non seulement l’Allemagne, mais Darlan, mais Pétain, mais la France. On voudrait tout sacrifier à la victoire anglo-saxonne, à la restitution aux juifs de leurs privilèges mal acquis. Contre toute évidence, on déforme systématiquement les nouvelles du monde entier pour relancer le peuple français contre son vainqueur, ou, à défaut, le maintenir sous l’oppression de l’attentisme et du sabotage.

L’attaque de Syrie a quelque peu ébranlé ces traîtres. Le gaullisme perd pied mais les langues perfides tricotent de nouveaux maillons de filets menteurs. Plus se dessine l’Europe nouvelle, plus on veut y opposer l’Utopie, la Bêtise de la Démocratie d’hier.

Sur l’échiquier judéo-américain, nous trouvons des personnages infiniment plus considérables que les petits cuistres de basses loges. Ce sont d’anciens ministres, voire d’ex-présidents du Conseil soutenus à la fois toutes les forces laïques et cléricales qui mènent ouvertement le jeu contre la France.

À Lyon, la conspiration des tarés

Tel est, à Lyon, le groupe Herriot

L’immonde ventru, pipeux, cuissu, qui, pendant de longues années, couva des mêmes fesses le fauteuil de président de la Chambre et les petits poussins foireux du radical-socialisme, est encore le centre d’une conspiration d’hommes tarés qui se servent de sa ventripotence politique pour tenter d’introduire des grains de sable dans les hauts L’État français. Autour d’Herriot, maçonnisant à outrance, ancien conférencier en L:. (L:. Ernest Renan au G:. O:. D:. F:.), président des amis de l’U.R.S.S., gravitent l’ancien préfet :. Bollaert et sa femme, les anciens ministres du Front popu Jules Julien et Février, et surtout, le sieur Justin Godart, le plus  judaïsant de tous nos hommes politiques, celui dont l’activité fut toujours au service des intérêts juifs, qui figure dans les annuaires israélites comme président d’honneur de nombreux de sociétés youtres.

Trois hommes sûrs pour les Juifs : Herriot, Justin Godart et Paul Reynaud, disait un journal juif

Qui se ressemble s’assemble. Un journal youtre de 1938 pouvait imprimer qu’il y avait en France trois hommes « sûr » pour les Juifs : Herriot, Justin Godart et Paul Reynaud.

Herriot aurait dû être à Riom. Qui lui a évité le banc d’infamie ? Ici, nous n’hésitons pas. Nous n’avons pas peur des mots ni des réactions, car nous transmettons fidèlement les réflexions douloureuses et indignées de nombreux catholiques qui voient avec étonnement se dérouler publiquement une étrange manœuvre. L’homme qui protège Herriot est Mgr Gerlier, évêque de Lyon, primat des Gaules.

Herriot de son côté, —Ô surprise— est reçu à Vichy après avoir eu des rapports avec l’amiral Leahy. Ainsi on trouve associés l’Amérique libérale, la franc-maçonnerie universelle, le plus gros comitard de la République et l’Église papale. Curieux char. Profonde ornière. Manœuvre suspecte. Puanteur des « combinazione ». Rage des « businessmen ». Souplesse youtre. Finauderie triple-ventrue.

À Toulouse : « vive le maréchal ! » crie la maçonnerie

Passons à Toulouse où la maçonnerie crie : « vive le Maréchal ! » derrière Maurice Sarraut, le véritable chef depuis vingt ans de feu la IIIème République.

De même que Mgr Gerlier a sauvé Herriot de Riom, Maurice Sarraut a évité le procès à son frère Albert Sarraut, d’aussi funeste mémoire.

Maurice Sarraut, directeur de La Dépêche de Toulouse, qui possède aussi La Garonne, est l’homme qui fit tous les hommes politiques de gauche, en particulier le sieur Blum, président du Conseil à la solde de la famille Sarraut. Nous reviendrons le jour sur les méfaits de la bande Sarraut, sur leurs tripotages dans l’aviation, dans les pétroles, la guerre d’Espagne, dans les travaux d’aménagement des poudreries du Sud-Ouest, aux usines de Brugnières, etc… Pour l’instant, révélons simplement ceci :

Albert Sarraut, politicien immonde

À partir de la débâcle, La Dépêche de Toulouse, qui était la citadelle de la démocratie la plus rougeoyante, se mit à hurler plus fort que les autres : « Vive le Maréchal ! », car il s’agissait de sauver toute la bande. Albert Sarraut, ce ministre taré, à la vie boueuse, Albert Sarraut, responsable mille fois de toute la politique intérieure communisante et maçonnique des dernières années de la République, Albert Sarraut, politicien immonde possédant encore par devers lui le plus de dossiers secrets sur les hommes du régime, Albert Sarraut n’est pas inquiété, malgré son passé d’une telle fange que la fusillade s’imposait dans les 24 heures. Maurice Sarraut couvre son frérot républicain de ces clameurs patriotiques. À Vichy, on se tait. Le Maréchal n’a peut-être pas pris garde aux gesticulations du pantin.

Dans la région, les Sarraut, Maurice et Albert, ont conservé la haute main sur tous les rouages administratifs. La préfecture et la délégation spéciale remplaçant le Conseil municipal de Toulouse, sont truffées de « Sarrautistes ».

Toute la région en est infestée. On a fait revenir de Nice le F:. Bouchède, Maçon important, pour le mettre à la tête de la police.

Les hommes de Sarraut à Vichy, et vive la République !

Le patron, c’est toujours Maurice Sarraut qui, de Toulouse, surveille attentivement la possibilité de rétablir la République, la sainte et divine République des camarades, la grande pourvoyeuse des combines et des Comités, la Marianne, croulante de graisse, débordante de bestialité et de compromissions douteuses, la déesse jouisseuse, pourvoyeuse de tous ces vieillards ou vices un phare, goûtant secrètement le breuvage répugnant la domination politique jusqu’à l’ivresse et la dégradation.

Maurice Sarraut est le chef de toute la maffia qui a précipité bas la France. Il est encore le chef de tous les charognards et de tous les attentistes démocrates. Il est toujours le chef d’une trahison possible, d’une conspiration maçonnique évidente, d’une entreprise de camouflage nationaliste couvrant toutes les turpitudes du passé, se maintenant dans l’ombre du Maréchal pour conserver ses positions secrètes.

Maurice Sarraut n’agit pas. Son armée politicienne est prête, l’arme au pied.

Voici pour Toulouse.

Passons au troisième personnage qui joue bien drôlement un petit jeu personnel dont la seule importance est de sembler être pris en considération.

Il s’agit du F:. …., Au fait, pourquoi le nommer ?

Il a l’air moins important que les deux autres. Il l’est. Il fut toujours un des valets de la politique parlementaire. Il s’en prétend un des chefs. C’est un de ces innombrables pions que des forces puissantes et obscures poussent sur l’échiquier de la diplomatie publique.

Il fut ministre nombre de fois. Il fut l’homme des Soviets. Il fut aux Finances trois jours, le temps de jouer à la baisse du franc et de disparaître sous les huées de la foule. Il fut de toutes les combinaisons juives. Il fut ami du trouble Navachine. Il est très intelligent. Il a toujours besoin d’argent.

Que vient faire dans le tohu-bohu actuel ce chef des mous —comme il s’intitule— qui revient sur l’eau exactement en même temps que se déclenche à Vichy l’offensive américaine, à Toulouse la consolidation du groupe maçonnico-républicain, en Espagne le voyage du judaïsant Gerlier, en Syrie l’attaque gaulliste, en France un peu partout la floraison des brochures et des articles antieuropéens divisés en journaux bien-pensants désireux de protéger, selon Jacques Maritain, « la dignité de la personne humaine contre le totalitarisme », à Paris le sabotage de l’alimentation.

Est-ce par hasard que l’ex-ministre de M… choisit ce jour pour se manifester un peu partout ?

Coïncidence ?

Nous ne sommes pas si naïfs.

Le ci-devant de M… vient jeter du lest se montrer à Paris, s’offrir en évidence, bavarder, tâcher de savoir, paraître, figurer. Il est au fond —pourquoi pas ?— Malgré un passé indéniablement lourd, tenté par la collaboration !

Le jeu est puéril. Le personnage est ridicule. Qu’on nous envoie, la prochaine fois, des pitres moins benêts.

Que M… aille dire à ses hauts gradés qu’il a manqué le coche.

La collaboration sera faite par le Maréchal, par la France, par le peuple, par le paysan, par l’ouvrier, quand tous les politiciens d’ancien régime seront chassés impitoyablement, sans égard pour leur froc, leur soutane ou leur jaquette.

Les Juifs lancent sans vergogne à la tête de l’Europe : l’Amérique, la Russie, l’Église, les secteurs maçonniques, les vieux pourris de la démocratie, les bonzes de tout poil qui s’accrochent désespérément au radeau de l’État français.

Ce bombardement de forces obscures est pitoyable.

L’offensive maçonnique internationale déploie ses grandes ailes de chauve-souris triangulée :

À Washington, Roosevelt et 4.500.000 francs-maçons américains.
À Londres, le F:. Georges VI et 500.000 francs-maçons anglais.
En France, toute la racailles des Herriot, des Sarraut, des de M… à la tête de 50.000 francs- maçons français et de hauts grades.
En Russie, les brutes de Staline.

La guerre juive est grande ouverte.

La haute Maçonnerie, la grande juiverie, l’Église mystérieuse et politique se sont mises d’accord pour protéger les privilèges de l’or.

La Maçonnerie internationale est aux abois.
Elle crève de peur. Elle crèvera bientôt tout à fait sous les talons des Européens.

Ah ! Que vivement meurent nos vieillards rouges.

Paul Riche