Mercredi 23 Mars 1949
Mon chéri,
Tu ne m’en voudras pas de ne pas t’écrire ce soir. J’ai eu une journée abrutissante de travail. Il est minuit. Je n’ai pas cessé de taper à la machine de toute la soirée. J’ai hâte de poser ma tête sur l’oreiller. Je t’y emmène d’ailleurs avec moi.
Bonsoir, Mon chéri.
JR