Les Républicains porteront-ils l’étoile jaune ?

Tout le vieux clan petit-bourgeois maçonnique, toute la vieille racaille parlementaire, tous les socialistes marxistes qui ont déterré Jaurès, sa barbe, son ventre et son verbe creux, réclament à grands hurlements démocratiques le rétablissement du défunt régime, où ils tripotèrent dans les deniers publics, et où il manipulèrent l’électeur.

Or, la République —qu’elle soit IIIème ou IVème— est le règne du Juif.
Le régime électoral est le triomphe du Juif.
La démocratie, c’est le Juif au pouvoir.

Voyez Dreyfus, voyait Blum, voyez Roosevelt et sa horde youire, voyez le comité de la L.I.C.A.

Donc, être républicain, c’est être pour le Juif. Réclamer la république, c’est vouloir le retour des Juifs et leur mainmise totale sur la France (pour l’Europe on verra plus tard).

Dans l’esprit de ses ex-dirigeants marxistes qui continuent impunément leur propagande antifasciste il n’est pas question d’autre chose que d’associer comme avant le Juif aux travaux des Français, et de continuer l’œuvre autre pays autrefois dans les loges ou aux côtés de Bernard Lecache .

Tous les anciens collaborateurs de Léon Blum, tous les judaïsants, tous les ex-ministres ou députés du Front popu, tous ceux qui réclament aujourd’hui la IVème République, n’ont-ils pas droit, pour l’heure action présente ou passée au titre de « Juif d’honneur » ?

Et, comme tels, ne devraient-ils pas porter l’étoile jaune ?

La question doit être posée sérieusement.

Une étoile jaune spéciale —bien entendu avec filets tricolores, et inscriptions différentes : on pourrait mettre par exemple, à la place de « Juif » le nom du propriétaire de ladite étoile.

Ce serait un plaisir de voir ainsi nos républicains arborer sur leur poitrine l’étoile de leurs convictions.

Il y en a même qui devraient ajouter à leur bras une équerre et un compas maçonnique, pour avoir écrit depuis peu tant de plaidoyers en faveur des Trois Points.

Ainsi les grotesques seraient complets.

À chacun son symbole.

On ne pense pas que cette idée ait pour eux quelque chose de choquant. Il est tout à fait naturel d’arborer le drapeau de ses préférences sur les parties saillantes de son individu.

D’autant plus qu’il serait tout prêts —en cas de victoire anglaise (Hum ! Hum !) pour affirmer qu’ils n’ont jamais cessé de prôner le bon régime youtréo-démocratique —témoin les insignes dont ils furent revêtus.

En cas de victoire allemande (ce qui ne semble un peu plus probable !), Lesdits insignes continueraient à définir l’insanité ambulante des individus tarés dont les électeurs français firent des députés et des ministres.

On aurait plus qu’à leur ajouter sur la partie charnue de leur quant-à-soi, l’empreinte symbolique d’une semelle cloutée.

Extériorisation totale de leur pensée.

Ainsi seraient réglée, définitivement, la question républicaine en France.

Quant au peuple, c’est autre chose ; il n’a pas besoin de ces vieux pantins cracheurs d’imbécillités.

Il lui faut du travail, une organisation sociale, la sécurité à l’intérieur et à l’extérieur, un salaire convenable. Pour acquérir tous ces avantages légitimes, il n’est pas utile de passer par des mandataires qui viennent lui promettre la lune et lui expliquer quatre ans après, pourquoi ils ne l’ont pas décrochée.

La République, c’est la promesse juive —le paradis terrestre, la rente inamovible, le communisme et autre blumeries.

Il faut être fou, inconscient, ou particulièrement hypocrite pour nous reproposer le petit régime électoral d’avant, avec les mêmes hommes à la tête, les mêmes mots, les mêmes vices.

Et qu’on ne vienne pas nous traiter d’infâmes petits fascistes d’extrême-droite, de galopins du faubourg Saint-Germain ! Le temps est passé où les salopards républicains pouvaient baver à peu de frais sur la meilleure élite de la jeunesse française. Il se trouve justement que, mêlés à cette jeunesse, qui fut de droite, sont aujourd’hui d’anciens militants désabusés qui furent de gauche. Ce sont ces militants, sincèrement dévoués au peuple, qui sont parmi les plus enragés antirépublicains. Après avoir vu les chefs socialistes, néos ou radicaux, nous mener à la débâcle des idées, des mœurs et des institutions, nous ne voulons plus aujourd’hui ni d’eux ni de leurs dogmes. C’est parce que nous avons découvert ces anticapitalistes verbeux, qui se prosternaient au pied de tous les capitalismes, ces socialistes amoureux de toutes les combines parlementaires que nous nous refusons à les écouter davantage maintenant que preuve est définitivement faite de leur nocivité. Ce sont les troupes de gauche qui vomissent les chefs de gauche. Il a fallu aux gens de gauche et gens de droite un certain courage, une certaine souplesse, pour accomplir leur synthèse. Mais le fait est acquis que les nouveaux partisans d’une unité française basée sur l’esprit communautaire répugnent autant au conservatisme qu’à la République, les deux étant séniles est empreints de judaïsme. La démocratie bourgeoise est morte, de Thorez à Louis Marin .

Portez votre étoile jaune sur la poitrine, vos cornes sur le front et votre honte au visage, messieurs les Républicains, phraseurs et hâbleurs, mais laissez les Français en paix —ou prenez garde qu’ils se fâchent !

Ni le peuple, ni la jeunesse, nous vous suivrons. Les panneaux électoraux n’intéressent plus personne. Ils contenaient trop de promesses qui nous conduisaient à une catastrophe dont la France se relèvera, espérons-le ! Mais dont vous —hommes au verbe creux— vous ne vous relèverez jamais —vous ni vos Juifs.

Nous réclamons l’étoile jaune pour les « Juifs d’honneur » : tous les chauves de la démocratie, tous les chevelus du marxisme.

République, ce mélange des races, des classes et des idées = Juif.

Les républicains doivent donc porter l’insigne à six branches.

Paul Riche