Racisme, espoir français

Quiconque aime son pays veut plus encore le prolongement de sa race que de l’esprit qu’elle créa. Il n’est pas suffisant de savoir que telle ou telle mode de penser, telle philosophie, tels concepts ethniques survivront quelques siècles à travers les bouillonnements des recherches, les tâtonnements intellectuels, le flot des protubérances verbeuses que chaque époque apporte avec elle, comme la mer son écume. Ce sont là désirs de poète, fort louables, mais qui se limitent au plaisir d’un délicieux raffinement, à la satisfaction de la forme parfaite de la pensée. Celle-ci, bien qu’elle semble l’indispensable ferment de la qualité spirituelle de la nation, ne saurait être à elle seule le ressort vital aux générations futures, le sperme créateur d’où jailliront des hommes de contexture solide, équilibrée, qui maintiendront l’avenir entre leurs mains viriles. Le grand tort des derniers siècles français (influencés par tant de réformes et contre-réformes, de maçonneries et d’avilissements religieux candides), fut de n’attacher d’importance qu’au spirituel pur, déformé jusqu’à l’abstraction. Notre éducation chrétienne nous pousse à acquérir la notion de l’homme juste. Mais pour échapper à la grossièreté de la nature humaine, on nous conduisait vers une dématérialisation affaiblissante. Car force spirituelle était confondue avec faiblesse physique, extase inactive. Tout les occultismes ou les ésotérismes tendaient à ces pratiques. On nous enseignait la victoire de l’esprit sur la chaire, condamnable. Mais, nos maîtres avaient confondu tout simplement la matière en soi, qui est mécanisme humain, et l’ignorance matérialiste, qui est néant. La condition humaine semblait méprisable parce qu’elle était observée à travers le tourment métaphysique. Que ne la voyait-on à travers le « développement animé » (dans le sens où anima veut dire vie, et non seulement âme). Sur le plan social, même concept erroné : pour corriger les erreurs possibles des sociétés et des gouvernements, il fallait que le dogme de l’ordre traditionnel en contrôlât les rouages. Et ce dogme, depuis deux mille ans que le judaïsme christique a envahi l’Occident, contenait le poison de l’égalité entre les hommes, et l’autre poison de la fraternité tolérante. Par contre, liberté absolue était accordées aux Juifs d’imposer au monde son dieu juif. Cette providence souveraine et implacable hurlait à ses enfants de nier aveuglément toutes leurs distinctions raciales. On voit bien pourquoi. Par cela même, les notions de hiérarchie, de civilisation, de connaissance, d’histoire, furent faussés.

On constate malheureusement aujourd’hui les résultats de telles erreurs, qui n’ont profité qu’aux malins parasites, aux subtils métis qui, depuis toujours, est avec adresse le labeur écrasant de la race blanche. Voici peu d’années que de grands français : Gobineau et Vachet de Lapouge, ont mit en valeur le problème des races. Comme il fallait s’y attendre, l’esprit sémite les a injuriés, repoussés, étouffés avec la dernière rigueur. Et pourtant, que de pages prophétiques, que les Français d’aujourd’hui feraient bien de relire ! Les titres des chapitres de l’Inégalité des Races sont eux-mêmes des axiomes si plein de concision et d’actualité, qu’on ne peut que s’étonner de ne pas les voir enseigner comme des vérités premières dès la tendre école. Il faut les citer et les redire :

« Chapitre II — Le fanatisme, le luxe, les mauvaises mœurs et les religions n’amènent pas nécessairement la chute des sociétés » (Inégalité des races, Gobineau)

« Chapitre III — Le mérite relatif des gouvernements n’a pas d’influence sur la longévité des peuples » (id.)

« Chapitre XI — Les différences ethniques sont permanentes » (id.)

«  Chapitre XIII — Les races humaines sont intellectuellement inégales. L’humanité n’est pas perfectible à l’infini » (id.)

et cet autre dernier, qui fera réfléchir nombre de penseurs sincères :

« Chapitre VII — Le christianisme ne crée pas et ne transforme pas l’aptitude civilisatrice » (id.)

Gobineau, si impératif et si froid dans son analyse, est cependant pessimiste dans ses conclusions. Il voit la race blanche, seule le civilisatrice du globe, décroître peu à peu, être absorbée par les métissages envahissants et se perdre dans la médiocrité. La dernière phrase de son livre est d’une splendeur tragique :

«… La prévision attristante, ce n’est pas la mort, c’est la certitude de n’y arriver que dégradés ; et, peut-être, cette honte réservée à nos descendants pourrait elle nous laisser insensibles, si nous n’éprouvions, par une secrète horreur, que les mains rapaces de la destinée sont déjà posées sur nous. »

Que de sensibilité profonde ! Que de connaissance intuitive des faiblesses de notre sang !

Gobineau publiait ces lignes en 1853. Il avait déjà vu l’effroyable déchéance d’un certain monde blanc dans le triomphe d’une bourgeoisie cupide, un prolétariat aveuglé de sa puissance brutale, du Juif pénétrant toutes les couches de la société, grâce aux mots de passe maçonniques. Le métissage accomplissait son travail de ciron . Après avoir atteint l’ordre pur, l’équilibre parfait dans l’harmonie, la société occidentale celto-germaine, et en particulier la France, s’effondrait soudain dans l’anarchie, s’agitaient désespérément en convulsions révolutionnaires, pour s’être trop complue à des spéculations intellectuelles et n’avoir pas su préserver sa race des infiltrations sémites, n’avoir pas accepté en retour le bénéfice des transfusions nordiques et aryennes.

Vachet de Lapouge n’est pas moins formel, quoique plus optimiste. En remettant l’avenir du monde entre les mains des aryens, il nie le concept juridique des sociétés, habitude sémite :

«… L’idée même de droit est une fiction. Il n’y a que des forces » (L’Aryen, 1889)

«… Il n’y a pas de droit contre la force, car le droit n’est que l’état créé par la force, et qu’elle maintient latent » (id.)

Et quelques mots plus loin, cette définition splendide, qui résout pour toujours le problème maçonnique :

«… Tous les hommes sont frères, et la fraternité s’étend à tous les êtres, mais être frère n’est pas de nature à empêcher qu’on se mange. Pour vivre, il faut manger, tuer pour manger... »

Nous voilà loin des utopies de Genève ! Ici est la dure réalité terrestre.

Vachet de Lapouge avait publié, dès 1889,un tableau comparatif de la marche des nations aryennes de 1700 à 1900. On n’y voit que, au début, la France et l’Allemagne y sont à égalité et en tête du monde. Mais, tandis que l’Allemagne se maintient à la toute première place en Europe, laissant loin derrière elle l’Angleterre, et entraînant dans son orbe la plupart des peuples, la France, par contre, descend à la sixième place en 1900, pour décroître encore et ne plus figurer, dans les pronostics d’avenir, que comme une nation épuisée par les guerres, les révolutions et les naturalisations massives.

Vachet de Lapouge attribue cette déchéance de la France à l’invasion juive, qui s’est faite sans bruit ni réaction :

«… Cette invasion interstitielle, cette conquête légale, n’ont pas soulevé les rancunes que laisse toujours le sang versé. Les vaincus acceptent leur défaite. Le maître qu’il cherchait, ils n’ont enfin trouvé… »

Il porte une accusation terrible contre l’esprit de résignation :

«… Les peuples catholiques ont si bien conscience de la cause de leur déchéance, due aux sélections religieuses plus qu’à tout autre cause d’usure, qu’ils sont disposés à tout souffrir des Juifs. »

Et le savant, dès 1889, devenait prophète :

«… À mesure que le régime ploutocratique —si mal appelé démocratique— se développera en Europe… on peut donc s’attendre à se voir se développer une puissante féodalité juive, maîtresse du sol, des usines et du capital, profondément séparée du peuple par la religion, la race et l’orgueil. (N’avons-nous pas connu, tout récemment, cette époque ?). Le seul écueil sur lequel puisse se briser la destinée de la nation juive serait celui du socialisme. » (du socialisme à forme nationale et raciale).

Après la victoire juive, Vachet de Lapouge prédts la défaite de juive :

«… Quand même le rêve politique de l’ambition juive viendrait à se réaliser, le désordre et l’anarchie mettraient promptement à la discrétion des peuples guerriers de race blonde les États qui auraient accepté la domination politique sémitique. Si grandes que soient les forces des peuples soumis à sa direction, le Juif se chargera lui-même de les désorganiser, de les détruire et de faire partie belle à ses adversaires ».

Réfléchissez, Anglais et Américains, voici le jour arrivé où les guerriers de race blonde mettent un terme aux activités néfastes du Juif.

Dans ce chaos, se demandent avec angoisse les Français, que devient la France ?

Il est certain, et il faut avoir le courage et la lucidité de l’admettre, que la vieille notion de la France libérale disparaîtra avec les dernières générations élevées dans cet esprit. Dès à présent, la coupure est nette entre les hommes de plus de 45 ans, qu’ils soient conservateurs, chrétiens ou maçons, et ceux qui entrevoient l’avenir franco-allemand non comme un compromis, une collaboration plus ou moins réussie, une alliance difficile entre pot de fer et pot de terre, mais qui, déjà, savent que la France ne peut être régénérée que par la coopération raciale. Ce n’est  plus une politique de collaboration ni d’alliance, mais une politique d’alliage, qui garantira l’avenir français, Car l’alliage exige d’éliminer les impuretés et d’associer les corps simples.

On sait d’avance quels cris d’orfraie vont soulever de pareils propos. Vachet de Lapouge avait aussi prévu cette réaction des réacteurs :

«… En face des dogmes nouveaux, l’alliance des hommes de l’Église et ceux de la Révolution sera le fait de demain, mais il n’y a pas d’alliance qui puisse retarder l’heure de la destinée, pas d’homme de génie qui puisse ramener l’humanité à l’ignorance. Nous courons vers l’inconnu, mais le passé ne reviendra jamais ! ».

C’est dans cet esprit qu’il nous faut élever la jeunesse française. Si l’on veut qu’il y ait ici une élite, il faut, dès à présent, considérer l’avenir sous l’angle de la sélection.

Paul Riche