Jean-Charles Mamy est le fils de Charles-Jean-Eugène Mamy, né le 25 juillet 1877 à Paris et de Marie Tardy, née le 13 mai 1880 à Betton-Bettonet, mariés le 22 octobre 1900 à Chambéry.
Un travail considérable de recherche généalogique, qui a porté sur plusieurs milliers de ses ancêtres paternels et maternels jusqu’aux Francs et aux Robertiens, en passant par les carolingiens et les Capétiens, réalisé par un des petits-fils de Jean Mamy, a permis de remonter la branche des Mamy jusqu’en 1620..
Depuis 1620, et peut-être depuis bien avant, les Mamy et les Tardy sont pratiquement tous né, tous mariés, tous décédés et enterrés dans un rayon de moins d’une lieue autour du village d’hauteville, en Savoie. Pour explorer l’arbre des racines « Mamy » de Jean Mamy, cliquez ici.
De ancêtres nobles et royaux
Le 7 septembre 1761, Joseph Mamy, le père d’Andréanne Mamy, maître de poste et maire d’Épierre, a épousé Josephte Salomon dont l’un des aïeux, Claude Salomon, lui aussi maître de poste et maire d’Épierre, avait épousé le 16 décembre 1639 à Chamoux-sur-Gelon une demoiselle de la noblesse savoyarde, Jacqueline de Gallis.
Un petit parcours du combattant nous conduit ensuite dans le dédale de la moyenne noblesse savoyarde et bourguignonne, les de Gallis, les de Bonivard, les de Mouxy, les de Menthon, les de Luyrieu, les de Salins, les de Rye, les de Vienne… pour remonter au douzième siècle jusqu’à Thibaut V de Blois, et sa femme Alix, fille de Louis VII le Jeune, Roi de France, descendant direct de Hugues Capet.
Mais ce n’est pas fini.
Jean Mamy, par conséquent moi aussi, descendons donc des Robertiens, de Hugues Capet, de Charlemagne, l’Empereur à la barbe fleurie, de son père, Pépin le Bref et de son grand-père, Charles Martel et des Rois francs.
Avec, au passage, un détour vers l’Empereur Frédéric Ier de Hohenstaufen, surnommé Frédéric Barberousse, souverain du Saint Empire Romain-Germanique de 1152 à sa mort. Peut-on y voir un lien génétique avec le penchant de Jean Mamy pour le modèle allemand ?
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